J'AI UN ROND POINT DANS L'CRANE

1. Vous ne pensez pas ce que vous dites vous voulez vous egarer.
2. Denoncez le sens unique et privilegier le rond-point.
3. .(Agis pour qu'il n'y ai aucun besoins d'un centre :

4. Le détail du pattern réside dans le mouvement.
5. Sentez la multiplicité des mondes qui s'arc-boutent dans le monde.
ou la constance de la dérive
La langue ne se tisse pas, la langues et l’outil pour tisser, l’effort de relation en est la matière
Mais cette matière est une soustraction, un prélèvement dans la texture

Le premier théorème d'incomplétude établit qu'une théorie coherente suffisante pour y démontrer les théorèmes de base de l'arithmétique est nécessairement incomplète, au sens où il existe des énoncés qui n'y sont ni démontrables, ni réfutables (un énoncé est démontrable si on peut le déduire des axiomes de la théorie, il est réfutable si on peut déduire sa négation). On parle alors d'énoncés indécidables dans la théorie.
Le second théorème d'incomplétude est à la fois un corollaire et une formalisation d'une partie de la preuve du premier. Il traite le problème des preuves de cohérence d'une théorie : une théorie est cohérente s'il existe des énoncés qui n'y sont pas démontrables (ou, ce qui revient au même, si on ne peut y démontrer A et non A) ; par exemple, on exprime souvent la cohérence de l'arithmétique par le fait que l'énoncé 0 = 1 n'y est pas démontrable (sachant que bien entendu 0 ≠ 1 l'est). Sous des hypothèses à peine plus fortes que celles du premier théorème, on peut construire un énoncé exprimant la cohérence d'une théorie dans le langage de celle-ci. Le second théorème affirme alors que si la théorie est cohérente cet énoncé ne peut pas en être conséquence, ce que l'on peut résumer par : « une théorie cohérente ne démontre pas sa propre cohérence. »

Par l’absence de ce tout premier mécanisme d’intégration sensorielle basé sur le repérage de synchronies, l’enfant sourd est confronté à une première difficulté pour créer une unité de son environnement, lors des interactions face à face avec sa mère (intersubjectivité). De fait, il y a une mise à mal de « l’émergence de la perception sociale » (Muir, Hains, & Lefebvre, 2000) avec l’absence de redondance sensorielle, lors de la reconnaissance du visage parlant de la mère repérage de synchronies qui permet la redondance sensorielle. Par conséquent, il peut lui aussi créer l’unicité du monde social et physique. Mais ceci est conditionné par les stimulations et l’écoute des parents afin qu’ils rendent synchrones leur communication en l’étayant sur plusieurs sensorialités, et qu’ensemble, ils s’ajustent

schémas d’interactions structurés

les regards de l’enfant et de l’adulte se coordonnent pour partager un intérêt commun qui peut être une troisième personne, un objet ou un événement.

Les formats sont des schémas d’interactions structurés qui reviennent lors d’interactions parent-enfant. Ils ont donc un haut niveau de prédictibilité : suite à son action, l’enfant attend une réponse spécifique de la part de l’adulte et peut ainsi interpréter le comportement de l’adulte, du moins partiellement (Veneziano, 2000). Par conséquent, leur usage implique une part d’intentionnalité. Ils ne sont pas seulement construits de lexiques, mais aussi de regards, d’expressions faciales, de mouvements de tête, de touchers, d’actions menées vers un but, d’émotions. Ainsi, ces échanges participent aussi à la construction d’une sémantique, d’une communication pré verbale porteuse de sens.

Lové dans ces échanges intermodaux, on pourrait parler de l’attention conjointe comme d’une imitation des yeux. Cependant, c’est un mécanisme d’attention visuelle plus complexe, fait de trois composantes, qui émerge vers les 9 mois de l’enfant. Il faut donc attendre que l’enfant soit en mesure de contrôler sa posture, de manipuler les objets (après 6 mois) (Rochat, Querido, & Striano, 1999).
L’attention conjointe est un concept de Werner et Kaplan (1963) pour définir la communication référentielle lors de la période pré verbale, c’est-à-dire partager un même espace d’intérêt : les regards de l’enfant et de l’adulte se coordonnent pour partager un intérêt commun qui peut être une troisième personne, un objet ou un événement.

C’est un acte perceptif (voir ensemble) qui implique un acte cognitif (savoir ensemble).
L’attention conjointe permet donc la transition du réel (voir un objet par exemple) vers le symbolique (avec notre exemple, en nommant l’objet grâce au langage ce qui permet la création d’une représentation mentale de cet objet et la possibilité d’en reparler sans que l’objet soit visible).
L’attention conjointe est aussi appelée intersubjectivité secondaire (Carpenter)
Elle intègre une relation triadique ou coopérative
Ceci implique que de voir ensemble (perception), on sait ensemble (cognition) et on agit ensemble (collaboration).
La compréhension du regard référentiel implique que l’enfant puisse se mettre à la place de la personne qui regarde, en prenant sa perspective.
Cette prise en compte de la perspective d’autrui a un double sens : purement perceptif ou représentationnel.

Il y a donc un glissement d’un aspect physique, perceptif vers un aspect représentationnel, plus abstrait, symbolique de ce que l’autre pourrait être en train de voir.

Elle intègre une relation triadique ou coopérative

L’enfant parvient à comprendre la relation adulte-objet car il comprend que l’adulte a le désir de partager avec lui, à propos de l’objet, en utilisant ce glissement de son regard sur l’objet
l’aspect transmodal du système perceptif

La communication la plus précoce est d’emblée transmodale, faite de redondance sensorielle
Ainsi, la communication de l’enfant avec le parent lors d’épisodes d’attention conjointe permet de comprendre les intentions d’autrui, dans un contexte qui la rend prévisible, attendue et c’est ce qui lui offre une valeur sémantique


Par l’absence de ce tout premier mécanisme d’intégration sensorielle basé sur le repérage de synchronies, l’enfant sourd est confronté à une première difficulté pour créer une unité de son environnement, lors des interactions face à face avec sa mère (intersubjectivité). De fait, il y a une mise à mal de « l’émergence de la perception sociale » (Muir, Hains, & Lefebvre, 2000) avec l’absence de redondance sensorielle, lors de la reconnaissance du visage parlant de la mère repérage de synchronies qui permet la redondance sensorielle. Par conséquent, il peut lui aussi créer l’unicité du monde social et physique. Mais ceci est conditionné par les stimulations et l’écoute des parents afin qu’ils rendent synchrones leur communication en l’étayant sur plusieurs sensorialités, et qu’ensemble, ils s’ajustent
Denoncé le langage de son incoherence


LE GESTE SE CHANGE EN UN GESTES
J/E  ON

Les mots agissent les uns sur les autres
creuser les faille linguistique

un geste se changes en un gestes

Un gestes
Une pensées

Une paroles

Un mots 

Un mondes

Un interieurs

Une faces

Repetition
Interpretation
traduction
Reversabilité
glissement
dérive
Enchevetrement
entrelacement
Zones comunes
Systeme formel
contrepoint


Isomorphisme

Non systheme ou le systeme contradictoire BOUCLES ETRANGES

Raisonner resoner



un opérateur de gestes

la produit en la laissant traîner
jeté hors de l'usage.


* dénoncer
* agir
* changer
* répéter
* interpréter
* traduire
* réopacifier
* révéler
* construire
* perdre (de son évidence / le sens)
* se diffracter
* s’interroger
* se défamiliariser
* relever de
* produire / vouloir produire
* s’abolir
* brouiller
* relancer
* dépenser
* entourer
* surgir
* coïncider
* survenir
* donner à lire
* voir (la portée de)
* guider
* contrôler
* coordonner
* imiter
* dénier
* griffer
* effleurer
* nourrir
* exalter
* être incapable
* suffire
* blâmer
* corroder (est corrosif)
* s’étendre
* approfondir
* disqualifier
* rendre instable
* être dévoué
* craindre
* devoir

* le mot
* le geste
* la pensée
* la parole
* le monde
* l’intérieur
* la face
* l’essence
* le déchet
* l’usage
* l’écriture
* le langage
* l’acte transitif
* le message
* l’information
* le signe
* l’intellection
* le supplément
* l’atmosphère
* le reste
* les effets / les effets retournés / les effets renversés / les effets échappés
* la trace
* la dépense
* les raisons
* la pulsion / les pulsions
* la paresse
* la modification / les modifications
* la déviation / les déviations
* l’allègement / les allègements
* le brouillis
* la salissure
* la négligence
* la chaîne causative des actes
* le trait
* l’imaginaire
* l’aptitude instrumentale
* l’oscillation
* l’inexpressible
* l’inexprimer

* la répétition
* l’interprétation
* la traduction
* la réversabilité
* le glissement
* la dérive
* l’enchevêtrement
* l’entrelacement
* les zones communes
* le système formel
* le contrepoint
* l’isomorphisme
* la boucle étrange
* la trame / le grain
* l’engendrement

la définition
l’incohérence
le non-système
le système contradictoire
raisonner / résonner
la portée

* « les bribes d’une paresse tombées dans un coin de la feuille »
* « la produit en la laissant traîner »
* « le jeté hors de l’usage »
* « le donnant à lire de leur engendrement »

        
mécanismes oculomoteurs et attentionnels de l’attention conjointe,
Mais l’attention conjointe ne se limite pas au regard,
     il faut aussi qu’il y ait une certaine rythmicité (qui s’est illustrée en premier lieu par la voix)
     qui accompagne des ajustements avec les regards. »
pourrait-on parler d'un attention conjointe et intersubjectivité entre sois et un texte par l'intermédiaire d'un écrivain
accordage affectif, un partage d’intention et d’émotion
        qui trouve son origine dans l’intersubjectivité
Au fil de la vie quotidienne l'émotion n'est pas un État, mais une succession de mouvement une mosaïque insaisissable ambiguë transitoire une manière vivante d'être au monde
Les affects qui traversent l’homme s’inscrivent sur toutes les parties du corps et de façon privilégié, il façonnent les trait de son visage 

Et quand l’un parle l’autre dit la meme chause avec son visage.

Et la pensée se change en trait sur le visage


Nous désignerons donc par état de corps l’ensemble des tensions et des intentions qui s’accumulent intérieurement et vibrent extérieurement. Cette conscience accrue du corps sensible, induisant une qualité de mouvement particulière, permet à chaque spectateur de comprendre – au sens de prendre avec soi – le geste (état de corps perçu). 


parler d’état supposerait donc qu’au cœur d’une dynamique de changement incessant, quelque chose soit stable. Ce quelque chose désignerait ce qui déclenche l’envie d’entrer en dialogue tonique avec l’environnement 


pas un état c'est une intensité
l'intersubjectivité comme origine de la construction sémantique du lv et lnv
induis un pattern commun créer à partir d'affectée pulsion, d'état de corps blablabla toujours en mouvement et poly/metamorphe
L’importance de la survie et du développement du nouveau-né motive une communication basée sur un accordage affectif, un partage d’intention et d’émotion qui trouve son origine dans l’intersubjectivité.
Ces attentes sont construites grâce à la perception de synchronies lors de la communication et de régularités comportementales
Ainsi, les attentes interactionnelles participent à l’anticipation de comportements par le nourrisson et laisse envisager l’existence d’attribution d’intention (toujours par le nourrisson) au partenaire de l’interaction (Nadel, 2002).

Le repérage de synchronies est à la base des imitations intra- et inter-modales qui façonnent les échanges 
Et quand l'une parle, l'autre dit la même chose avec son visage LV.
Et les pensées se changent en trait sur le visage, LV
Il y avait cette possibilité-là que je sois quelque part en elle, après tout ce temps à avoir été autour d'elle. Que je me sois donnée la chance de renaître à son ventre et d'épouser depuis l'intérieur. SC_MNSKS
quelqu'un qui ouvrirait une voie royal de l'oeil à l'esprit sans l'intermédiaire bruyant des mots CB_LDM
Qui pourrait arrêter le coeur pour qu'il se stabilise un peut de l'éternité toujours stable comparer à l'instabilité du temps ? STG
sans defaire le lieu,
sans diluer le lieu,
l'ouvrir
EG
Une poétique de la relation me paraît plus évidente et plus "prenante" aujourd'hui qu'une poétique de l'être.
EG
Peut-être pouvons pouvons-nous penser l'usage comme une archive de la fragilité d'une vie. SA_VQ_17
Construire le mot à partir de la figure SA_VQ_4
Des mots comme des cicatreices retournées en cris de ralliement. SA_VQ_4
L'objet d'un trafic de signifiant SA_VQ_5
Je voudrais placer cette méditation en votre compagnie. Sous deux auspices. Affirmer d'abord que l'on peut répéter les choses. Je crois que la réception est une des formes de la connaissance dans notre monde ; c'est en répétant les choses qu'on commence à le petit bout d'une nouveauté qui apparait JD_MDL_28
glissant lieu commun / répétition / redondance
"Le texte est un évènement relationnel et non pas une substance à analyser"
"Le texte est un évènement relationnel et non pas une substance à analyser"
Une structure immanente de promesse ou de désir,
une attente sans horizon d'attente informe toute parole JD_MDL
Et tant pis pour l'économie d'énergie que sécurise l'identification des formes. Générosité proliférante pour l'inventntivité relationnelle MySu_
la contradiction qui nous mis en mouvement. ?_?
écarquiller des mots,
la décrire en en témoignant dans des termes qui le dépassent,
flottant à la surface de l'expérience.
Qu'obtient-on a suivre les pistes suggérées par notre trajectoire oblique ? SA_VQ_5
Rien ne peut être utilisé pour tout : cela implique que l'usage est une restriction matérielle des possibilités. SA_VQ_16
, et ce changement est une habitude de cohésion. SA_VQ_24
L'utilisation peut aussi servir de cadre de pensées SA_VQ_24
: recyclant les mots et leurs usages pour décrire ce que nous faisons quand nous nous rassemblons, nous élargissons leurs sens SA_VQ_10
SEMANTIQUE
: la visceral "traction du passée sur présent " SA_VQ_25
Pour Lamarck, le cou de la girafe s'agrandit, non pas sous l'effet d'une volonté, mais en conséquence des effet d'une volonté mais en conséquence des efforts répétés qui lui donnent cette direction. SA_VQ_24
Les formes peuvent être comprises comme des "traînées temporelles" SA_VQ_25
: voila la formule qui interprète les existences SA_VQ_4
Parfois les mots sont reutilisés SA_VQ_15
faire entrer au devant de la scène ce qui d'ordinaire recule à l'arrière plan. SA_VQ_15
s'inscrire dans l'ouvrir Tamud
D'autre part, et c'est là sans doute le plus important la question de l'identité de la " langue passe en second plan derrière l'importance de l'énonciation Myriam Suchet
la manière dont on nous demande de suivre les sentiers battus de la citation ; et comment bien citer, dans un tel cas c'est citer, dans un tel cas ces citer celle-eux qui exercent le plus d'influence. Si nous souhaitons façonner des savoirs nouveaux, il nous faut citer différemment; la citatio, devient notre résistance à l'effacement SA_VQ
TW_RB 
USAGE
TRAJECTOIR
INTRO

la manière dont on nous demande de suivre les sentiers battus de la citation ; et comment bien citer, dans un tel cas c'est citer, dans un tel cas ces citer celle-eux qui exercent le plus d'influence. Si nous souhaitons façonner des savoirs nouveaux, il nous faut citer différemment; la citatio, devient notre résistance à l'effacement SA_VQ

écarquiller des mots,


: le «gauche» (ou le « gaucher ») est une sorte d'aveugle :il ne voit pas bien la direction, la portée de ses gestes; sa main seule le guide, le désir de sa main, non son aptitude instrumentale;
l’œil, c'est la raison, l’évidence, l'empirisme, la vraisemblance, tout ce qui sert à contrôler, à coordonner, à imiter,
et comme art exclusif de la vision, toute notre peinture passée s'est trouvée assujettie à une rationalité répressive.
D‘une certaine façon, TW libère la peinture de la vision; car le «gauche» (le«gaucher») défait le lien de la main et de l'œil: il dessine sans lumière (ainsi faisait TW, à l’armée),

MAINS CARESSE
MU VASSILOU

SEMANTIQUE
: recyclant les mots et leurs usages pour décrire ce que nous faisons quand nous nous rassemblons, nous élargissons leurs sens SA_VQ_10

Construire le mot à partir de la figure SA_VQ_4

L'objet d'un trafic de signifiant SA_VQ_5

TW_RB WINNICOT


FORME SEMANTIQUE
cette apparence de coïncide pas bien avec le langage CYTW_RB
arrival

MOUVEMENT


, et ce changement est une habitude de cohésion. SA_VQ_24

Qu'obtient-on a suivre les pistes suggérées par notre trajectoire oblique ? SA_VQ_5
cette apparence de coïncide pas bien avec le langage CYTW_RB
? Des mots surgissent spontanément
Et tout de suite une gène de langage survient : ces mot ne sont ni faux ni satisfaisant ;
cette apparence ne coïncide pas bien avec le langage
L'essence d‘un objet a quelque rapport avec son déchet :
non pas forcément ce qui reste après qu'on en a usé,
mais ce qui est jeté hors de l'usage.

Ainsi des écritures de TW. Ce sont les bribes d'une paresse, donc d’une élégance extrême;
comme si, de l'écriture, acte érotique fort, il reste la fatigue amoureuse :
ce vêtement tombé dans un coin de la feuille.
TW dit à sa manière que l'essence de l'écriture,
ce n’est ni une forme
  &nbsp &nbsp&nbsp  &nbsp   ni un usage,
mais seulement un geste,
le geste qui la produit en la laissant traîner :
un brouillis, presque une salissure, une négligence. Réfléchissons par comparaison.
DES MOUVEMENT SURIMPRIMÉ
PALIMPSESTE
l'un tendant à effacer l'autre

; mais les deux mouvements restent vaguement surimprimés; c'est un palimpseste pervers :trois textes (si l‘on y ajoute la sorte de signature, de légende ou de citation :Sesostris) sont là, L'un tendant à effacer l’autre, mais à seule fin, dirait-on, de donner à lire cet effacement :véritable philosophie du temps.
Comme toujours, il faut que la vie (l'art, le geste,le travail),témoigne sans désespoir de l’inéluctable disparition : en s'engendrant (tels ces a enchaînés selon un seul et même rond de main, répété, translaté),en donnant à lire leur engendrement (ce fut autrefois le sens de l'esquisse), les formes (du moins, à coup sûr, celles de TW) ne chantent pas plus les merveilles de la génération que les mornes stérilités de la répétition;

elles ont à charge, dirait-on, de lier dans un seul état ce qui apparaît et ce qui disparaît; séparer l'exaltation de la vie et la peur de la mort,
c’est plat; l'utopie, dont l'art peut être le langage, mais à quoi résiste toute la névrose humaine, c'est de produire un seul affect :ni Éros, ni Thanatos, mais Vie-Mort, d‘une seule pensée, d'un seul geste. De cette utopie n'approchent ni l‘art violent ni l'art glacé, mais plutôt, à mon goût, celui de TW, inclassable,
parce qu'il conjoint, par une trace inimitable, l'inscription et l'effacement, l'enfance et la culture, la dérive et l‘invention.
: il ne saisit rien il dépose et tout est dit.
, hors sa place, voilà qui trouble l'ordre; ou encore :c'est dans la mesure où le fond n‘est pas propre, qu'il est impropre à la pensée (au contraire de la feuille blanche du philosophe), et donc très propre à tout ce qui reste (l'art, la paresse, la pulsion, la sensualité, l'ironie, le goût : tout ce que l‘intellect peut ressentir comme autant de catastrophes esthétiques).
ce qui est montré, c'est un geste. Qu’est-ce qu'un geste?
Quelque chose comme le supplément d'un acte.

L'acte est transitif, il veut seulement susciter un objet, un résultat;
le geste, c'est la somme indéterminée et inépuisable des raisons, des pulsions, des paresses qui entourent l'acte d’une atmosphère (au sens astronomique du terme).

Distinguons donc le message, qui veut produire une information,
le signe, qui veut produire une intellection,
et le geste, qui produit tout le reste(le«supplément») sans forcément vouloir produire quelque chose.

L'artiste (gardons encore ce mot quelque peu kitsch) est par statut un opérateur de gestes :
il veut produire un effet, et en même temps ne le veut pas;
les effets qu'il produit, il ne les a pas obligatoirement voulus;

ce sont des effets retournés, renversés, échappés,
qui reviennent sur lui et provoquent dès lors des modifications, des déviations, des allègements de la trace.

Ainsi, dans le geste s'abolit la distinction entre la cause et l'effet,
                                                                    la motivation et la cible,
                                                                    l'expression et la persuasion.

Le geste de l'artiste—ou l‘artiste comme geste—
                                                                ne casse pas la chaîne causative des actes,
ce que le bouddhiste appelle le karma (ce n'est pas un saint, un ascète),
mais il la brouille,
 &nbsp &nbsp &nbsp   il la relance jusqu‘à en perdre le sens.
donne à lire la trace de sa pulsion et de sa dépense
montre le geste. Il n'est pas demandé de voir, depenser, de savourer le produit, mais de revoir, d'identifier et, si l'on peut dire, de «jouir» le mouvement qui en est venu là.
Sara Ahmed
un opérateur de gestes

L'essence
Le déchet
L'usage
L'ecriture
Le langage
Le mot
Un geste
Un acte transitif
Le message
Une information
Un signe
Une intellection
Le supplement
Une athmosphère
Le reste
Les effets
Les effets retournés
Les effets renversés
Les effets échappés
la trace
La depense
les raisons
les pulsions
les paresse
une atmosphère

des modification
des deviation
des allegement
un brouillis
une sallissure
une negligence
la chaîne causative des acte
Le trait
La pulsion
La dépense

la produit en la laissant traîner
jeté hors de l'usage.

surgissent spontanément
coïncide
survient
ce qui est montré
produire et vouloir produire
s'abolit
brouille
relance
perd le sens
depenser
entoure

bribes d'une paresse
tombé dans un coin de la feuille.

donnant à lire leur engendrement

voit la porté de

aptitude instrumentale
guide
contrôle
coordonne
imite
denie
griffe
effleure
Rilke
Derrida
Au fil de la vie quotidienne l'émotion n'est pas un État, mais une succession de mouvement une mosaïque insaisissable ambiguë transitoire une manière vivante d'être au monde
Les affects qui traversent l’homme s’inscrivent sur toutes les parties du corps et de façon privilégié, il façonnent les trait de son visage 

Et quand l’un parle l’autre dit la meme chause avec son visage.

Et la pensée se change en trait sur le visage


Nous désignerons donc par état de corps l’ensemble des tensions et des intentions qui s’accumulent intérieurement et vibrent extérieurement. Cette conscience accrue du corps sensible, induisant une qualité de mouvement particulière, permet à chaque spectateur de comprendre – au sens de prendre avec soi – le geste (état de corps perçu). 


parler d’état supposerait donc qu’au cœur d’une dynamique de changement incessant, quelque chose soit stable. Ce quelque chose désignerait ce qui déclenche l’envie d’entrer en dialogue tonique avec l’environnement 

L'acte est transitif, il veut seulement susciter un objet, un résultat;
le geste, c'est la somme indéterminée et inépuisable des raisons, des pulsions, des paresses qui entourent l'acte d’une atmosphère (au sens astronomique du terme).
ce sont des effets retournés, renversés, échappés, qui reviennent sur lui et provoquent dès lors des modifications, des déviations, des allègements de la trace. Ainsi, dans le geste s'abolit la distinction entre la cause et l'effet, la motivation et la cible, l'expression et la persuasion. Le geste de l'artiste—ou l‘artiste comme geste— ne casse pas la chaîne causative des actes, ce que le bouddhiste appelle le karma (ce n'est pas un saint, un ascète), mais il la brouille, il la relance jusqu‘à en perdre le sens.

pas un état c'est une intensité


ce sont des effets retournés, renversés, échappés,
qui reviennent sur lui et provoquent dès lors des modifications, des déviations, des allègements de la trace.
L'acte est transitif, il veut seulement susciter un objet, un résultat;
le geste, c'est la somme indéterminée et inépuisable des raisons, des pulsions, des paresses qui entourent l'acte d’une atmosphère (au sens astronomique du terme).

Distinguons donc le message, qui veut produire une information,
le signe, qui veut produire une intellection,
et le geste, qui produit tout le reste(le«supplément») sans forcément vouloir produire quelque chose.

ce qui est montré, c'est un geste. Qu’est-ce qu'un geste?
Quelque chose comme le supplément d'un acte.

TW dit à sa manière que l'essence de l'écriture,
ce n’est ni une forme
ni un usage,
mais seulement un geste,
le geste qui la produit en la laissant traîner :
un brouillis, presque une salissure, une négligence. Réfléchissons par comparaison.
et là, tout es remis en jeux,
Pour Winnicott, se sentir réel ne correspond pas à une réaction à des stimuli externes, ou à l’identité. C’est une sensastion, une sensation qui s’étend. Parmi d’autres fonctions, elle donne envie de vivre.
Avant notre rencontre, j’avais consacré ma vie à l’idée de Wittgenstein selon laquelle l’inexpressible est contenu – d’une manière inexpressible ! – dans l’exprimé. Cette idée se voit accorder moins de temps d’antenne que le plus déférent Ce dont on ne peut parler, il faut le taire, mais c’est, je crois, l’idée plus profonde. Le paradoxe qu’elle désigne représente littéralement ce pourquoi j’écris, ou ce pourquoi je me sens capable de continuer à écrire.
Et ce, parce que ça ne nourrit pas, parce que ça n’exalte pas le sentiment d’angoisse qu’on peut ressentir devant l’incapacité à exprimer, à l’aide des mots, ce qui leur échappe. Ça ne rejette pas ce qui est dit au nom de ce qui, par définition, ne peut pas l’être. Pas plus que ça ne se la joue, comme on prétexterait, la gorge nouée : J’te dis pas tout ce que je dirais si les mots suffisaient. Les mots suffisent.
Il est vain de blâmer le filet d’avoir des trous, note mon encyclopédie.
J’ai déjà expliqué ça ailleurs. Mais j’essaie de dire quelque chose de différent maintenant.
J’ai appris très vite que toi, tu avais pour ta part consacré ta vie à la conviction que les mots ne suffisent pas. Pas seulement qu’ils ne suffisent pas, mais qu’ils sont corrosifs pour tout ce qui est bon, tout ce qui est réel, tout ce qui participe au grand flux. Nous nous sommes disputés sans fin à ce propos, pleins de fièvre, sans malice.
Une fois qu’une chose est nommée, as-tu dit, nous ne pouvons plus la voir de la même façon. Tout ce qui n’en a pas été dit se fane, se perd, est assassiné. Tu appelais ça la fonction emporte-pièce de nos esprits. Tu disais que tu savais ça non pas à force d’avoir fui le langage, mais parce que tu t’y étais immergé, à l’écran, dans la conversation, sur la scène, dans les livres.
oscillation

L'inexpressible
L'inexprimer

se voir accorder
nourris
exalte
est incapable
suffit
blâmer
est corrosif
s'etend
approfondi
disqualifie
rend instable
est dévoué
Crain
doit
J’ai arrêté de répéter avec suffisance : Absolument tout ce qui peut être pensé peut être exprimé clairement,
et j’ai recommencé à me demander, est-ce que tout peut être pensé ? Ludwig Wittgenstein
22/08/25 Jsuis entrain de lire Les argonautes de Maggie Nelson. Dans les première page du livre elle écrit

"J’ai arrêté de répéter avec suffisance : Absolument tout ce qui peut être pensé peut être exprimé clairement, et j’ai recommencé à me demander, est-ce que tout peut être pensé ? Ludwig Wittgenstein"

dans quel cadre est dit cette parole ou où et écrit cette pensée, quel valeur a cette pensée émis dans un contexte purement théorique ? es ce que ce qui est rédigé dans un écrit théorique a valeur de Tout
surintectualisation
comment le verbal prévaux sur tout le reste ?


Jme demande surtout qu'est ce qu'"exprimer clairement" pourrait vouloir dire, si dire n'est pas neutre mais brouillé, enchevêtrer, au corps qui parle, à celui en face qui écoute et réagis directement en ping pong a la parole et au visage de celui d'ou la parole émane

MYRIAM SUCHET

transmodal et inter-modal
intersubjectivité

au visage utiliser pour le dire
si la face visible du dire est toujours affectée par le corps qui le dit,
que la relation est redondance,

L'écart intransigeant/ineluctable entre ce qui est produit et ce qui voulait l'etre
entre ce qui est transmis,
Ce passage, cette écart, ce décalage, déviation bien qu'incontrôlé n'est pas échec il est matière, mouvement. Volonté surimprimer à la surface d'un autre
La langue ne se tisse pas, la langues et l’outil pour tisser, l’effort de relation en est la matière

Mais cette matière est une soustraction, un prélèvement dans la texture
ce sont des effets retournés, renversés, échappés,
qui reviennent sur lui et provoquent dès lors des modifications, des déviations, des allègements de la trace.




brouillé à la fois par double mouvement,
geste/ acte atmosphère
corps qui parle
intonation...
je t’ai envoyé le passage de Roland Barthes par Roland Barthes où il décrit comment celui qui prononce la formule «je t’aime» est comme «l’Argonaute renouvelant son vaisseau pendant son voyage sans en changer le nom». Tout comme les pièces de l’Argo peuvent être remplacées à travers le temps, alors que le bateau s’appelle toujours Argo, chaque fois que l’amoureux prononce la formule «je t’aime», sa signification doit être renouvelée, comme «le travail même de l’amour et du langage est de donner à une même phrase des inflexions toujours nouvelles ».
LES ARGONAUTES - MAGGIE NELSON
23/08/25 En lisant Maggie Nelson jsuis tombé sur l'image de l'argonautes de Roland Barthes et cette image m'as tout suite attirer, «les Argonautes remplaçaient peu à peu chaque pièce, en sorte qu’ils eurent pour finir un vaisseau entièrement nouveau, sans avoir à en changer le nom ni la forme. »

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l’allégorie d’un objet éminemment structural, créé par deux actes modestes (qui ne peuvent être saisis dans aucune mystique de la création) :
                 la substitution (une pièce chasse l’autre, comme dans un paradigme)
              et la nomination (le nom n’est nullement lié à la stabilité des pièces)
objet sans autre cause que son nom, sans autre identité que sa forme.

la disposition des outils
la structure de l’espace
: le système prévaut sur l’être des objets.

— où, pour garder une métaphore que Barthes aimait citer, le sujet, à l’instar du vaisseau Argo, se départit de toutes ses pièces en cours de route mais conserve son entité, bref, cette dérive que nous appellerons: la traversée de l’imaginaire par un sujet incertain.
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Roland Barthes par Roland Barthes Seuil, coll. « Écrivains de toujours », 1975, p. 50

Le vaisseau Argo :
Image fréquente : celle du vaisseau Argo (lumineux et blanc), dont les Argonautes remplaçaient peu à peu chaque pièce, en sorte qu’ils eurent pour finir un vaisseau entièrement nouveau, sans avoir à en changer le nom ni la forme.

Ce vaisseau Argo est bien utile :
il fournit l’allégorie d’un objet éminemment structural, créé,
        non par le génie, l’inspiration, la détermination, l’évolution,
        mais par deux actes modestes (qui ne peuvent être saisis dans aucune mystique de la création) :
                 la substitution (une pièce chasse l’autre, comme dans un paradigme)
                et la nomination (le nom n’est nullement lié à la stabilité des pièces)
: à force de combiner à l'intérieur d'un même nom, il ne reste plus rien de l’origine
: Argo est un objet sans autre cause que son nom, sans autre identité que sa forme.

Autre Argo : j’ai deux espaces de travail, l’un à Pairs, l’autre à la campagne. De l’un à l’autre, aucun objet commun, car rien n’est jamais transporté. Cependant ces lieux sont identiques. Pourquoi ?
Parce que la disposition des outils (papier, plumes, pupitres, pendules, cendriers) est la même
; c’est la structure de l’espace qui en fait l’identité.
Ce phénomène privé suffirait à éclairer sur le structuralisme : le système prévaut sur l’être des objets.

— où, pour garder une métaphore que Barthes aimait citer, le sujet, à l’instar du vaisseau Argo, se départit de toutes ses pièces en cours de route mais conserve son entité, bref, cette dérive que nous appellerons: la traversée de l’imaginaire par un sujet incertain.
usage Sara Ahmed
Cy TW Roland Barthes

Ainsi, dans le geste s'abolit la distinction entre la cause et l'effet,
                                                                    la motivation et la cible,
                                                                    l'expression et la persuasion.

Le geste de l'artiste—ou l‘artiste comme geste—
                                                                ne casse pas la chaîne causative des actes,
ce que le bouddhiste appelle le karma (ce n'est pas un saint, un ascète),
mais il la brouille,
 &nbsp &nbsp   &nbspil la relance jusqu‘à en perdre le sens.
SYSTHEME
GODEL
TALMUD
geste
intersubjectivité dans la relation regard/visage, parole, trad
entraîner son oreille à ne pas craindre d’entendre répéter encore et encore
simplement le tracé d’un devenir. Gilles Deleuze & Claire Parnet
Ici, comme ailleurs, la contamination approfondit plutôt qu’elle ne disqualifie.
Je me demandais quand nous aurions enfin la paix,
Quand nous pourrions retrouver le sentiment d'avoir été
Ailleurs,
Dans les arbres,
Dans les arbres,
Ou les forêts,
Entre les lettres de l'alphabet,
Sous les pierres,
Dans les bouquins
Dans les peintures de Géricault,
La méduse ou le radeau
La femme qui donne la liberté
Où le cheval fière et blessé
CONTENU
REDONDANCE
Au fil de la vie quotidienne l'émotion n'est pas un État, mais une succession de mouvement une mosaïque insaisissable ambiguë transitoire une manière vivante d'être au monde
Les affects qui traversent l’homme s’inscrivent sur toutes les parties du corps et de façon privilégié, il façonnent les trait de son visage 

Et quand l’un parle l’autre dit la meme chause avec son visage.

Et la pensée se change en trait sur le visage


Nous désignerons donc par état de corps l’ensemble des tensions et des intentions qui s’accumulent intérieurement et vibrent extérieurement. Cette conscience accrue du corps sensible, induisant une qualité de mouvement particulière, permet à chaque spectateur de comprendre – au sens de prendre avec soi – le geste (état de corps perçu). 


parler d’état supposerait donc qu’au cœur d’une dynamique de changement incessant, quelque chose soit stable. Ce quelque chose désignerait ce qui déclenche l’envie d’entrer en dialogue tonique avec l’environnement 


pas un état c'est une intensité
MYRIAM SUCHET
http://histoires-courtes.fr/v.html?subject=Suchet_Myriam
La langue
L'imaginaire

a tendance à
évoluer dans
réopacifier
reveler les contour
construit
défamiliarisation
perd de son évidence
se diffracte
s'interroge
perd de son évidence
se defmiliarise
trame
constitue le grain
constitue la trame
relève de
l’instabilité engendrée par la métaphore.
je me suis laissée porter par une humeur délinquante, anti-interprétative. Au lieu d’une herméneutique, il nous faut une érotique de l’art. Mais même une érotique me semble trop lourde. Je ne veux pas une érotique ni une herméneutique de mon bébé. Aucune n’est assez sale, aucune n’est assez gaie. Susan Sontag
Je veux que tout se suspende maintenant, peut-être pour toujours, je veux célébrer ce bref moment avant que j’aie à plonger à nouveau dans l’action, avant que je doive reprendre le rôle de celle qui élimine MN_LA
Je veux que tout se suspende maintenant, peut-être pour toujours, je veux célébrer ce bref moment avant que j’aie à plonger à nouveau dans l’action, avant que je doive reprendre le rôle de celle qui élimine
Malgré ça, Winnicott soutient de façon relativement non sentimentale que nous ne devons rien à ces gens-là (souvent des femmes, mais bien sûr pas toujours). Nous nous devons plutôt à nous-mêmes « la reconnaissance intellectuelle du fait que nous avons d’abord été (psychologiquement) absolument dépendants, et qu’absolument veut dire absolument. Heureusement, nous avons été accueillis par une dévotion ordinaire. »
Par dévotion ordinaire, Winnicott veut dire dévotion ordinaire. «C’est une banalité mais quand je dis dévoué, je veux simplement dire dévoué.» Winnicott est un écrivain pour qui les mots suffisent.
Ce qui nous importe le plus désormais, c’est de retrouver l’usage de nos sens. Nous devons apprendre à mieux voir, à mieux entendre, à mieux sentir. Notre tâche n'est pas de découvrir dans une œuvre un contenu de plus en plus abondant, et moins encore de nous efforcer d’y ajouter beaucoup plus qu’elle ne contient. Notre tâche eSt de nous libérer de la pensée du contenu pour goûter la chose elle-même. Le but de tout commentaire artistique devrait être désormais de rendre l’œuvre d’art — et, par analogie, notre propre expérience — plus réelle à nos yeux, et non pas de la déréaliser. Montrer comment l’objet eSt ce qu’il eSt, ou même simplement qu’il eSt ce qu’il eSt, bien plutôt que de faire apparaître ce qu’il peut signifier, voilà le véritable rôle de la critique.

Nous n’avons pas, en art, besoin d’une herméneutique, maisd’un éveil des sens.
206.C'est un coup du sort étrange : tous les hommes dont on a ouvert le crâne avaient un cerveau ! WITTGENSTEIN

une scientifique si acharner à prouver à sa femme que l'amour qu'elle éprouve pour elle est simplement du a des mécanisme interne quel est prête à tuer pour lui prouver. Alors chaque jours elle dissèque des corps, de coeurs, des cerveau pour lui montrer le mécanisme tangible d'un sentiment transandant
SUSAN SONTAG
LE GESTE SE CHANGE EN UN GESTES
TEMPS-VOLUME
tout est contenue dans tout dès le début le sens s'étire
usage
essence
geste
temps
: le «gauche» (ou le « gaucher ») est une sorte d'aveugle :il ne voit pas bien la direction, la portée de ses gestes; sa main seule le guide, le désir de sa main, non son aptitude instrumentale;
l’œil, c'est la raison, l’évidence, l'empirisme, la vraisemblance, tout ce qui sert à contrôler, à coordonner, à imiter,
et comme art exclusif de la vision, toute notre peinture passée s'est trouvée assujettie à une rationalité répressive.
D‘une certaine façon, TW libère la peinture de la vision; car le «gauche» (le«gaucher») défait le lien de la main et de l'œil: il dessine sans lumière (ainsi faisait TW, à l’armée),
Mu
intro
MAINS CARESSE
la main conduit le trait
Le trait — tout trait inscrit sur la feuille — dénie le corps important, le corps charnu, le corps humoral :le trait ne donne accès ni à la peau ni aux muqueuses; ce qu'il dit, c’est le corps en tant qu'il griffe, effleure
; par le trait, l'art se déplace; son foyer n’est plus l'objet du désir (le beau corps figé dans le marbre), mais le sujet de ce désir :le trait, si souple, léger ou incertain soit-il, renvoie toujours à une force, à une direction; c'est un energon, un travail qui
donne à lire la trace de sa pulsion et de sa dépense.
Le trait est une action visible
MAINS CARESSE
Mu
la valeur déposée par tw dans son œuvre peut tenir dans ce que sade appelait le principe de délicatesse (« je respecte les goûts, les fantaisies... je les trouve respectables... parce que la plus bizarre de toutes, bien analysée, remonte toujours à un principe de délicatesse »). comme principe, la « délicatesse » n'est ni morale ni culturelle ; c'est une pulsion (pourquoi la pulsion serait-elle de droit violente, grossière ?), une certaine demande du corps lui-même.
Winnicott passe du play, encore trop raide, au playing : le réel de I'enfant - et de l'artiste —, c'est le processus de manipulation, non l'objet produit (Winnicott en vient à substituer systématiquement aux concepts les formes verbales qui leur correspondent: fantasying, dreaming, living, holding,etc.).Tout ceci vaut très bien pou TW: son œuvre ne relève pas d'un concept (trace) mais d'une activité (tracing) ; ou mieux encore: d’un champ (la feuille), entant qu’une activité s'y déploie.
, comme s'il s'aggisait de rendre visible le temps, le tremblement du temps
, l'enlacement des jambages,
, hors sa place, voila qui troubles l'ordre
, l'écriture n'habite plus nulle part, elle est absolument de trop
Aucune surface, si loin qu'on la prenne, n’est vierge :tout est toujours, déjà, âpre, discontinu, inégal, rythmé par quelque accident :ily a le grain du papier, puis les salissures, les treillis, l‘entrelacs de traits, les diagrammes, les mots.
MAINS CARESSE
SEMANTIQUE

Winnicott passe du play, encore trop raide, au playing : le réel de l'enfant - et de l'artiste —, c'est le processus de manipulation, non l'objet produit (Winnicott en vient à substituer systématiquement aux concepts les formes verbales qui leur correspondent: fantasying, dreaming, living, holding,etc.).Tout ceci vaut très bien pou TW: son œuvre ne relève pas d'un concept (trace) mais d'une activité (tracing) ; ou mieux encore: d’un champ (la feuille), entant qu’une activité s'y déploie.

un geste se change en un gestes

temps-volume
Grace à ses vecteurs le diagramme peut tout embrasser à la fois
Amy Sillman, Faux Pas
reconcilié les deux faces
tout avait sa place sur un meme plan
une sorte de contenant,
                 une structure ouverte à tous les vents,
                    &nbsp            &nbspcapable de représenter la perversité polymorphe de l'esprit de rupture du 20e siècle
a la fois des choses et des évènement
ici l'autrice à réellement mis en italique et
l'échelle est relationnel
,le diagramme comme concept même est une action
                                                          un moment plutôt qu'une chose
                                                          un moment de transformation
talmud contradiction temps-volume
En ce sens un diagramme est utopique,
            car il montre comment les choses pourrait et devrait se passer
faire et avoir une expérience Talmud / TEMPS /
préférant les réanvisagé dans leur extension
modèle de connectivité polymorphe entre des éléments distincts qui est déployé
Les diagramme sont des échecs,
les peintures sont des échecs
et la vie aussi est un échec.
Le diagramme n'y peut rien.

Pour le reste reprenons la question de l'écrivain Donald Bartheleme
«qu est ce qui se passe après  ? »
La réponse est « je n'en sais rien »
c'est ce qu'un diagramme, peux vous montrer qu'il y a des choses qui échappe à tout contrôle.
Charles Olson dans son manifeste « vers projectif » décrit à son tour un espece de diagramme spatial : ils imaginent le langage comme constitué d'éléments comparable à des flèches et la parole comme un projectile expulser hors de la gorge du poète, vers le monde traçant une sorte de champ de force invisible. Cette espèce de langage-force, echappe peut être à la perception. Elle n'est pas sans conséquences : l'esthétique relationnelle du langage comme force. 
« Est ce qu’on pouvait résoudre le problême du diagramme comme systeme de controle en reflechissant justement à la manière dont dont un diagramme nous fait penser ? Est-ce que des nouveaux modes de pensée pourraint offrir de nouvelles possibilités d’émancipation ? La pensée par le diagramme le travail d'atelier la peinture est-ce que tu ça pouvait être « hors de contrôle » ? Non non tu souhaitais que la réponse de mes soucis tu es d'une manière ou d'une autre dans quelque chose de désordonné des accidents les négation des fuites quelque chose entre nous qui transporter des phénomènes physiques inexplicable idée de désirs les plus sur le plaisir des choses qui me semblait intimement liés à la dimension de mon savoir du processus de création artistique aussi tu descends comme ayant rien à voir avec la génération de valeur. Rien d’utopique la-dedans, seulement, une idée pratique : penser et espérer que, là même ou les flèches du « Vers projectif » se plantent , quelque chose de l'ordre de l’etre et de la vie puisse etre ressenti. 
TEMPS-VOLUME

Jim Jarmusch

Geste RB= somme indeterminer et inepuisasble des raisons des pulsion des paresse qui entourent l’acte d’une athmosphere

Etat de corps = ensemble des tensions et des intention qui s’accumulent interieurment et vibrent exterieurement


talmud

« La Chora concept élaboré par la théoricienne Julia Kristeva qui emprunte le terme au Timee de Platon désigne une » totalité non -expressive » pré-linguistique constitué par les pulsions renvoyant aux maternelles, à l’instant, au rythme là Chora est sémiotique par opposition au symbolique modalités de signifiances qui se caractérise par la logique la dénomination et la clôture du sens elle joue un rôle essentiel dans le travail poetique tels que l'analyse Kristeva »


Au bout des doigts, et au dela des schemas sur le toit du monde savoir aux limites se trouve l'excédent ce qui est le plus étrange la Chora plutôt que l'information
Vers rejectif. Langage inconvenant
.Ce qui sort de la bouche et y revient
Ecarquillé les yeux à l’instant de la Révelation, en epuiser la comréhension, tout faire pour en garder la trace puis inlassablement se contredire avant la fin du battement de cils.
je m'intéresse à la langue ou plus exactement à ce qu'on appelle la langue et à l'imaginaire qu'on en a
il me semble que nous avons tendance la plupart du temps à évoluer dans notre langue surtout lorsque nous croyons en avoir qu'une un peu à la manière d’un poisson rouge dans son bocal persuadé de vivre dans un milieu naturel parce que les parois sont si transparentes qu’il en oublie le caractère construit historique contingent

et la raison pour laquelle la littérature me semble un instrument prodigieux c'est qu'elle permet de réopacifier légèrement les parois du bocal ou de donner des petits coups pour nous aider à reprendre conscience de leur existence
et du fait que la langue n'existe pas la langue française n'existe pas mais la langue anglaise la langue allemande l'inuctitout n'existe pas non plus

je pense que c'est extrêmement important parce que révéler les contours du bocal c’est aussi interroger l'identité du poisson qui vit à l'intérieur dès qu'on admet que la langue n'existe pas l’identité elle aussi se diffracte s'interroge perd de son évidence et la littérature permet cette expérience d'une défamiliarisation de la langue et de soi-même je pense que c'est le cas de toute littérature

je me suis plus particulièrement intéressée à des textes qu'on on appelle postcoloniaux c'est une étiquette qui ne me convient pas très bien non plus mais qui est assez efficace pour interroger les rapports de force et de pouvoir à l'intérieur de la poiétique

pourquoi la poiétique parce que j'essaie de distinguer ce qui relève de l'énoncer ce que dit le texte littéraire et ce qui relève de l'énonciation la manière dont le texte l'écrit

comme il y a une manière en peinture c'est ce qui constitue le grain le tissu du texte puisque le texte ça vient de tissu c’est la même étymologie plutôt et c'est la manière dont le texte est tramé qui dit quelque chose de la langue et des rapports de pouvoir qui s'y trame précisément

il y a un terme plus technique qu'on peut utiliser et que j'emprunte ccffcgfcgcf grutman qui est un théoricien de la littérature et qui parle d'hétérolinguisme c'est un néologisme un mot inventé qu’il a forgé pour se distinguer du bilinguisme qui constitue une capacité individuelle à parler deux langues pour se distinguer aussi de la diglossie qui est une situation sociale mais pour se distinguer aussi du pluri ou du multilinguisme qui met l’accent sur la multiplicité de langues alors que
l'hétérolinguisme insiste davantage sur la différence à la fois entre les langues mais aussi en leur sein du dedans de la langue elle-même
et aujourd'hui je développe ce que j'appelle une perspective indisciplinaire l'hétérolinguisme ça devient une méthode pour interroger y compris la langue que je parle et qui est l’universitérien essayer de la décloisonner de l'Intérieur là encore et c'est pour ça que je parle d'indiscipline et pas de multi ou de pluridiscipline l'indiscipline c'est à la fois une posture de pensée en ça je dirais que c'est indisciplinaire parce que le suffix fait très universitarien mais c'est aussi une manière de vivre et en ça être indiscipliné comme l'élève au fond de la classe tout pareil

des modes de textualisation délibérément déréglés
Benveniste je tu
La Relation, nous l'avons souligné, ne joue pas sur des éléments premiers, séparables ou réductibles -
auquel cas, elle se fut ramener à une mécanique susceptible d'être démontré ou reproduit. Elle ne se précède pas dans son acte, ne se suppose aucun a priori.
Elle est l'effort sans limite du monde : qu'il se réalise en totalité, c'est à dire qu'il échappe au repos.

L' accumulations des exemples nous rassure mais en marge de toute prétention systémique. La relation ne peut pas être "prouvé" parce que sa totalité n'est pas approchable - mais imaginée, concevable par déport de la pensée . L'accumulation d'exemple tendrait à parfaire
Edouard Glissant, poétique de la relation
La Relation,
des éléments premiers, séparables ou réductibles
Acte

une mécanique susceptible d'être démontré ou reproduit.



souligné
ne joue pas sur
se précèder
ne se suppose aucun a priori.
ce qui importe se n'est pas la détermination d'emplacement fixe des élément du système mais les rapport entre chaque, en constante ébullition, les effet de leur trajectoire (la trajectoire de leurs effets ? )
frederique ait Touati
Les pacotilleuses résistent, mais la résistance n’est pas frontale

résistance à l’Un, à l'uniformisation, à l’ordre et à la pureté; sa première caractéristique est le multiple, le bigarré et désordonné,

pas une science de l'opposition mais un art de l’esquive et du détour, une poésie du divers et de l’excès (de la surcharge).

“Ces rivières sont obstruées maintenant d’un salmigondis d'ordures et de pourritures. La route de la mer est de l’ailleurs est barrée dans nos esprits. Si vous ne débouchez pas les rivières, comment voulez-vous connaître la rumeur au loin ? Vous méconnaissez le Tout-monde.”

La route de l’ailleurs est barrée. L’ailleurs, c’est ce qui alimente l’imaginaire, et l’imaginaire, c’est ce qui renouvelle le réel, l’anime et le vitalise, faute de quoi il se répète, se duplique, s'uniformise.

Ce qu’il faut faire circuler, échanger et relier, ce sont donc les îles, mais aussi les mots et les histoires, les rumeurs et les souvenirs, les chants et les mythes.

“Nous entrons tous maintenant dans une nouvelle région du monde”. Cette nouvelle région impose un nouveau savoir qui sera moins une science de l’espace et de la géo-maîtrise qu’une “poésie en étendue”, un esthétique des lieux; des lieux parcourus et nommés, respectés dans leur diversité confuse et leur profondeur symbolique.

Mais elles ne se croient pas mission. Elles sont la Relation

PACOTILLE ou PAQUOTILLE, s. f. terme de Commerce de mer qui signifie un certain poids, volume ou quantité de marchandises qu’il est permis aux officiers, matelots & gens de l’équipage d’embarquer pour en faire commerce pour leur compte. On l’appelle aussi portée, voyez Portée. Dictionn, de Comm.


1er cdt : tu ne tricheras point sur l’origine de ta marchandise […]
2ème cdt : tu ne t’éterniseras point dans le même lieu […]
3ème cdt : tu n’amarreras tes sentiments à aucune créature masculine en particulier, car le chagrin d’amour t’est interdit.
4ème cdt : tu procureras à tes amants et à tes enfants, de quelque terre qu’ils soient, la même quantité d’affection.
5ème cdt : [une erreur d’impression – aucun 5ème cdt]
6ème cdt tu adoreras les esprits Shemine et Maboya, Jésus-Christ et la vierge Marie, Papa-Legba et Erzulie-Fréda, Mariémen et Nagourmira, Allah l’Unique.
7ème cdt : tu vénéreras toutes les langues […]
8ème cdt : […] achète, vends, rachète, revends sans pièce repos. Le plaisir est dans le changer-de-mains.
9ème cdt : tu accueilleras chaque emmerdation, chaque chiennerie de l’existence, avec un sourire égal.
10ème cdt : tu suivras à la lettre les neuf premiers cdts. Sinon la maudition s’abattra sur ta tête.»

Le terme du contenant désignant le contenu


https://alinepenitot.com/2016/09/01/la-drive-sans-fin/

Nous [les pacotilleuses] savons déchiffrer les morsures du temps, les traces obscures sur le dos de la mer et aussi l’allégresse soudaine d’une vague surgie de nulle part, empanachée de son écume aux reflets sauvages. C’est que nos yeux demeurent longtemps posés sur l’au-loin.
Ma mère se met à déparler, mêlant tous les idiomes de l’Archipel, ce qui veut dire que ses mots remontent le passé en zig-zag,

Tout au long de l’archipel, elle savait repérer les traces des corps voltigés par-dessus bord au temps d’antan. Corps d’esclaves révoltés. Corps de Nègres démangés par le pian et le scorbut. Mutilés. Ou simplement terrassés par la tristesse. « Beaucoup des nôtres sont morts de tristesse, oui », me murmurait-elle. Et nous conservons en nous une parcelle de ce sentiment, nous, les pacotilleuses, femmes de vagabondages marins, bien plus en tout cas que ceux qui croupissent dans les îles, rivés à des terres qui ne leur appartiennent pas en propre.

Nous y demeurons d’éternels locataires, ce qui explique pourquoi nous pouvons nous sentir à l’aise dans n’importe quelle partie du vaste monde. Privés de nos patries d’origines, l’univers est devenu le nôtre. Nous ne disposons plus que d’une seule adresse : la drive sans fin.

Les pacotilleuses d’Édouard Glissant : une poésie de la résistance. Philosophie de la relation et politique de l’imaginaire, Arnaud Sabatier, philosophe.
Extraits : Les pacotilleuses résistent, mais la résistance n’est pas frontale, elles n'utilisent pas les armes de ce qui a qui ou à quoi elle résiste. Elle est d’abord une résistance à l’Un, à l'uniformisation, à l’ordre et à la pureté; sa première caractéristique est le multiple, le bigarré et désordonné, elle n’est pas une science de l'opposition mais un art de l’esquive et du détour, une poésie du divers et de l’excès (de la surcharge). Elles “désobstruent les embouchures des eaux”. Il faut pour comprendre l’image, lire encore le passage qui précède. Après avoir listé les noms des rivières martiniquaises sur presque une page, il écrit:
“Ces rivières sont obstruées maintenant d’un salmigondis d'ordures et de pourritures. La route de la mer est de l’ailleurs est barrée dans nos esprits. Si vous ne débouchez pas les rivières, comment voulez-vous connaître la rumeur au loin ? Vous méconnaissez le Tout-monde.”
La route de l’ailleurs est barrée. L’ailleurs, c’est ce qui alimente l’imaginaire, et l’imaginaire, c’est ce qui renouvelle le réel, l’anime et le vitalise, faute de quoi il se répète, se duplique, s'uniformise.
Ce qu’il faut faire circuler, échanger et relier, ce sont donc les îles, mais aussi les mots et les histoires, les rumeurs et les souvenirs, les chants et les mythes.
Pas de mission, ni pour les poètes ni pour les pacotilleuses.
“Nous entrons tous maintenant dans une nouvelle région du monde”. Cette nouvelle région impose un nouveau savoir qui sera moins une science de l’espace et de la géo-maîtrise qu’une “poésie en étendue”, un esthétique des lieux; des lieux parcourus et nommés, respectés dans leur diversité confuse et leur profondeur symbolique. Il s'agira moins de continents et de nations que d’archipels et de pays (et plus précisément de “petits pays”, ceux qui sont toujours liés à des paysages).
“La pensée archipélique convient à l'allure de nos mondes”. La pensée continentale fondée sur une ontologie des substances, a été très efficace pour maintenir une géopolitique des empires et des sciences des systèmes;
Cette genèse articulée à une racine-unique ou racine-souche constitue une culture “atavique” et homogène que l'on croit ensuite pouvoir définir par ses traits essentiels.
A cela, Glissant oppose la “digenèse” ce qui revient à renoncer à l'idée d ‘origine et à sa quête, à dénoncer l’inanité de tout forme d’essentialisation, à reconnaître la multitude et la diversité des racines entremêlées et à parler de cultures composites”.
La digenèse ne légitime rien ni personne, plus encore elle confère à tous une illégitimité partagée, “aujourd’hui, c’est le monde entier le Tout-monde qui est illégitime”, illégitime dans ses revendications de priorités et de propriétés.



Vous ne connaissez pas les pacotilleuses. Elles désobstruent les embouchures des Eaux, pour occuper les trottoirs avec ce limon qu’elles ont fouillé. Femmes de Haïti, de Guadeloupe ou de Martinique, elles rappellent les matrones qui dans les villes d’Afrique détiennent le pouvoir du quotidien, celui du marché tout bouillant et de l’influence sagement assise. Elles sont tout autant matador. Mais elles n’ont que le loisir de dériver.

Que font les pacotilleuses? […] Elles relient la vie à la vie, par-delà ce que vous voyez, les radios portables de Miami et les peintures à la chaîne de Port-au-Prince, les couis ornés de San Juan et les colliers rastas de Kingston, elles transportent l'air et les commérages, le manger comme les préjugés, le beau soleil et les cyclones. Mais elles ne se croient pas mission. Elles sont la Relation. Disons, ce sera pour me vanter, que je suis le pacotilleur de toutes ces histoires rassemblées. » Edouard Glissant, Tout Monde
Il faut pour comprendre l’image, lire encore le passage qui précède. Les pacotilleuses d’Édouard Glissant :
une poésie de la résistance
que d’errance et de démesure
on ne survit plus dans le retrait ; dangereux car du tout à la totalité et de la totalité au totalitaire (doux et volontaire, le cas échéant), il n’y a qu’un pas
Philosophie de la Relation et politique de l’imaginaire
Arnaud Sabatier, Philosophe
La Guematria c'est l'une des manières d'étudier la Torah à chaque lettre est associé un chiffre alors toujours dans cette idée de passage de texte. Ligne A texte volume. On peut traverser le texte de differente manière. Soit tel mot À la même valeur, que tels autres mots. Exemple : . soit tel mot à la valeur de la somme de ces deux autres mot Exemple : . On pourrait aussi imaginer qu'un verbe conjugué à la première personne du futur on chercherait la valeur du mot sans la présence de la première personne du singulier au futur, on en chercher un mot à la meme valeur et on pourrait réfléchir a ce que ça apportait a ce nouveaux mot de lui apposer la marque de la première personne du futur. Comme plusieurs mots ont la même valeur, ce choix se fait de manière instinctive et subjective. Donc éphémère et émouvante. et l'idée c'est à la fois de réfléchir à ce mot en lui-même. Mais aussi comment ça peut agir sur le texte qui entour ce mot.


GODEL quant à lui par peur de du manque, de clarté, de la parole de la communication et des mots il À chercher à créer un langage fait de chiffres pour écrire des théorème et des assertion mathématique
##decrir et vérifier mes dires

GLISSANT TTM p474
wittgenstein france culture conversation scientifique
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Je voudrais voir votre commentaire sur ce que Jacques Bouveresse précise à propos de la position de Wittgenstein. Il écrit ceci : à tort ou à raison, witgenstein, estime qu'aucun résultat scientifique, ne doit avoir une incidence directe sur la philosophie, considéré en tant que tel bien qu'il puisse évidemment fournir indirectement à la philosophie, une occasion nouvelle de s'exercer et qu'inversement, le but de la recherche philosophique ne doit pas être d'exploiter, de ratifié ou de censurer, ce qu'il se passe dans les sciences, mais seulement de le comprendre et de le décrire correctement. ce qui peut déjà être en fait la chose la plus difficile qu'il soit.

fournir à ma philosophie une occasion nouvelle de s'exercer

la science sert de catalyseur À la philosophie, donc les problèmes scientifiques et les solutions scientifiques peuvent apporter disons des objets nouveaux à la philosophie, mais la philosophie ne pourra faire que élucider le langage dans lequel la science énonce

ce ne sont pas des fait scientifique qui peuvent résoudre les question philosophique

voila
"
21/09/25 J'suis entrain de lire Le grand jeu de Celine Minard. Pages 128 elle écrit :

"des jeu sans règles, seulement doté d'un mode opératoire assez simple pour accueillir toutes sorte de bizarreries ? Mais combien de bizarrerie supporte un jeu avant d'exploser dans le non-jeu ? Et comment se maintient un jeu s'il réinvente ses règles à mesure qu'il est joué ? "

Elle m'a sauté au yeux sa manière de présenter le jeu. À la fois celui qui dicte, et celui qui exécute. Il se dicte à lui même ses propre condition d'existence. De lui, à lui. Par lui, pour lui. Dans un même gestes.


es ce que exploser dans le non-jeu es ce que le jeu explose à l'intérieur ou devient du non- jeu

constitution d'un systeme instinctif mouvant éphémère et éventuellement faïble depuis un chaos-monde


au même titre que l'argonautes ce jeu à pour identité uniquement sa structure/systheme. mais comme structure/systheme est auto réflexif
son impulsion 1ere

détail of pattern is movement


GLISSMENT : CHAOS-MONDE

Quel pourrait être le but, l'intérêt d'un jeux qui réinventerais ses règles "à mesure qu'il est joué?
ou peut-être que c'est justement ça le point, un jeu avec comme modalité d'existence de tendre continuellement vers plus de clarté de son propre mode opératoire

apetititon

Une pâte à modeler qui se modèlerait(?) pour comprendre de quoi elle est faite, ses possibilité, ses propriété, ses limites.

masse malléable dont la forme/l'état, les condition d'exploitation serais remise en jeu après chaque actualisation, chaque geste.

selon ??? qui la regisse

La boucle étrange de celui qui joue a se joué, qui se joue de lui même, quitte a se mettre hors de lui.

quelle pourrait êtres ces "bizarreirie" qui le mettrais hors de lui ?


Opérons un premier glissement :
Derrida écrit dans Le monolinguisme de l'autre :
"On ne peut parler d'une langue que dans cette langue Fût-ce à la mettre hors d'elle même."

Es-ce que l'on pourrait imaginé que ce désir de vouloir utiliser d'autre monde/système pourrait se faire non pas en transposant un système dans un autre d'une manière littéral (par la logique) mais plutôt par une émotion(incontrôlable, un effort démesuré un besoins frénétique irresponsable de se joué de soi au point de se mettre hors jeu) se faire trembler, se faire sortir de ses gond, en changer le rythme, la brouillé, la faire sortir de sa constance,
faire s'infiltrer le non-jeu dans le jeu. faire s'infiltrer le jeu dans le non-jeu Une infiltration du non-jeu dans le jeu suffit à se percevoir comme non hermétique
à rendre plus poreux (son propre état)
esce que le jeu l'était déjà avant de se testé ?


Si on continu de parlé du langage, ça ma résonne avec Myriam Suchet, dans la vidéo Histoire courte, la langue n'existe pas Ça commence comme ça :
"il me semble que nous avons tendance la plupart du temps à évoluer dans notre langue surtout lorsque nous croyons en avoir qu'une un peu à la manière d’un poisson rouge dans son bocal persuadé de vivre dans un milieu naturel parce que les parois sont si transparentes qu’il en oublie le caractère construit historique contingent et la raison pour laquelle la littérature me semble un instrument prodigieux c'est qu'elle permet de réopacifier légèrement les parois du bocal ou de donner des petits coups pour nous aider à reprendre conscience de leur existence et du fait que la langue n'existe pas"

GODEL


Cependant ce jeu ne peux ce faire qu'a l'intérieur de lui-meme, depuis lui-même. Rien ne lui permet de se joué depuis le non jeu.
(lbntz)


quelque ligne plus tard elle écrit :
" un jeu vide dont dont le mode opératoire serait le jeu même. Une règle souple mais tendue qui changerais à chaque coup sans jamais détruire le jeu.
La méthode ? Non. La vie ? Un idiot, jouerais à cela ? Ou seul un idiot pourrait jouer à cela : la vie ?
Y jouerais comme il faut, en conscience, concentré sur la respiration du jeu, inaccessible au détourné d'attention. Un idiot : celui qui regarde le doigt qui montre la lune."


un jeu vide ?
souple mais tendu ?
concentré sur la respiration du jeu ?
inaccessible au détourné d'attention ?


Un jeu dont le l'effort constant serais de se percevoir/se comprendre avec plus de clarté de voir

un jeu dont chaque actualisation permettrait de voir avec plus de clarté a limites/ les possibilité/ les parois des

a chaque coup Cette constance inébranlable ma fait pensée a leibniz



Opérons un deuxième glissement :Avec Les monades de Leibniz dont l'effort constant est de se percevoir avec toujours plus de clarté.
appetititon


« L’essence de la monade est la perception et l’appétition. La perception est la vue des choses dans leur liaison nécessaire. L’appétition est l’effort vers une perception plus distincte, vers la perception la plus distincte possible, vers l’état le meilleur possible. »
« … on appelle appétition cette tendance de la monade à passer à des perceptions nouvelles de plus en plus distinctes. »
« C’est à passer d’une perception à une autre par une suite infinie rompue de changements, que tend chacune d’elles par cet effort continuel qui tient à sa constitution originaire. Cet effort pourra donc s’appeler appétition… »





par quel intermédiaire ?
quel pourrait etre la place de la contradiction ?

deuxième glissement : incomplétudes de godel
Une règle souple mais tendue qui changerais à chaque coup sans jamais détruire le jeu.



troisième glissement : la théorie de la personne de Benveniste et la construction de l'intersubjectivité
relire arrticle :
La plasticité de la construction de l’intersubjectivité
De sa canonicité à des modes plus hybrides
Catherine Detrie
exploser dans le non-jeu
à chaque coup
concentré sur la respiration du jeu
inaccessible au détourné d'attention

Le non-jeu
les regles
Le mode opératoire

vide
soupe
tendu


se détruire
se maintien
reinvente
exploser
se maintien
supporter
des modes de textualisation délibérément déréglés
je m'intéresse à la langue ou plus exactement à ce qu'on appelle la langue et à l'imaginaire qu'on en a il me semble que nous avons tendance la plupart du temps à évoluer dans notre langue surtout lorsque nous croyons en avoir qu'une un peu à la manière d’un poisson rouge dans son bocal persuadé de vivre dans un milieu naturel parce que les parois sont si transparentes qu’il en oublie le caractère construit historique contingent et la raison pour laquelle la littérature me semble un instrument prodigieux c'est qu'elle permet de réopacifier légèrement les parois du bocal ou de donner des petits coups pour nous aider à reprendre conscience de leur existence et du fait que la langue n'existe pas la langue française n'existe pas mais la langue anglaise la langue allemande l'inuctitout n'existe pas non plus je pense que c'est extrêmement important parce que révéler les contours du bocal c’est aussi interroger l'identité du poisson qui vit à l'intérieur dès qu'on admet que la langue n'existe pas l’identité elle aussi se diffracte s'interroge perd de son évidence et la littérature permet cette expérience d'une défamiliarisation de la langue et de soi-même je pense que c'est le cas de toute littérature je me suis plus particulièrement intéressée à des textes qu'on on appelle postcoloniaux c'est une étiquette qui ne me convient pas très bien non plus mais qui est assez efficace pour interroger les rapports de force et de pouvoir à l'intérieur de la poétique pourquoi la poétique parce que j'essaie de distinguer ce qui relève de l'énoncer ce que dit le texte littéraire et ce qui relève de l'énonciation la manière dont le texte l'écrit comme il y a une manière en peinture c'est ce qui constitue le grain le tissu du texte puisque le texte ça vient de tissu c’est la même étymologie plutôt et c'est la manière dont le texte est tramé qui dit quelque chose de la langue et des rapports de pouvoir qui s'y trame précisément il y a un terme plus technique qu'on peut utiliser et que j'emprunte ccffcgfcgcf grutman qui est un théoricien de la littérature et qui parle d'hétérolinguisme c'est un néologisme un mot inventé qu’il a forgé pour se distinguer du bilinguisme qui constitue une capacité individuelle à parler deux langues pour se distinguer aussi de la diglossie qui est une situation sociale mais pour se distinguer aussi du pluri ou du multilinguisme qui met l’accent sur la multiplicité de langues alors que l'hétérolinguisme insiste davantage sur la différence à la fois entre les langues mais aussi en leur sein du dedans de la langue elle-même et aujourd'hui je développe ce que j'appelle une perspective indisciplinaire l'hétérolinguisme ça devient une méthode pour interroger y compris la langue que je parle et qui est l’universitérien essayer de la décloisonner de l'Intérieur là encore et c'est pour ça que je parle d'indiscipline et pas de multi ou de pluridiscipline l'indiscipline c'est à la fois une posture de pensée en ça je dirais que c'est indisciplinaire parce que le suffix fait très universitarien mais c'est aussi une manière de vivre et en çaêtre indiscipliné comme l'élève au fond de la classe tout pareil

vortex - jacques
reinvestit
se contient lui même auto-réflexif,

§15
« L’action du principe interne, qui fait le changement ou le passage d’une perception à une autre, peut être appelée appétition. L’appétition est donc l’effort de la monade pour passer d’une perception à une autre. »
§49
« Il faut que tout état présent d’une substance simple soit une suite naturelle de son état précédent, en sorte que son état présent ne soit jamais qu’un développement de son état précédent, et une préparation pour celui qui doit suivre. »
§83
« Les créatures agissent extérieurement selon le degré des perceptions distinctes qu’elles ont ; c’est en cela qu’elles se perfectionnent ou s’imparfaitent. »

leur liaison nécessaire
pas de coupure dans la communication
redondance sensorielle
Je me suis interesser à la figure de la chercheuse, pas celle qui cherche l'ultime reponse à sa question mais celle qui tourne en rond et qui s’egare, et dont la recherche et l’intérêt est finalment cette egarement. Son mouvement incessant. incapable de se figer dans une réponse, elle tourne en rond et se repète. Recherche instinctive, Attitude dfghjk. Ne se saisir de rien mais caresser l'idée. La chercheuse, se laisse methamorphoser, en continue, au fil de sa recherche.

j'ai oublié qui a écrit ça : "! j’ai parfois l’impression de trouver des reponse à mes question, mais elle était vites ballayés par d’autre réponses contraire puis d’autre.
Alors que faire avec cette histoire et ces mouvements qui semblent tous se contredire les uns les autres ? "

ne pas s'fixer, rester actif
ni inerte, ni solide
ne pas s’etablir, partir en fumer
ne pas posseder mais carreser l’idée


Cain Abel fumé
Le tours de passe passe de celui qui devient ce qui, depuis son premier jours, est dit pour le nommer.


je me suis interessé à different monde qui sont chacun des modes/systheme de compréhension du monde et des de systheme communication, dont le sujet interne est la nécessité de l’usage d’autre monde pour se comprendre/créer/nourir lui même. Ce qui m’interesse à presenter dans le mémoire c’est à la fois leurs systheme interne mais aussi les lien entre eux, notament grace au vocabulaire qu’il utilise.
Ecarquillé les yeux à l’instant de la Révelation, epuiser sa comréhension, tout faire pour en garder la trace puis inlassablement se contredire avant la fin du battement de cils.





Intro
Glissant lieux commun=
Talmud
Egarament Derrida et coherence/ croyance 
Cerceur de veronique vassilou

1. constuire (une semantique )

Construction de la semantique du regard 
 suchet 
 Talmud verbe etre et recherche perpetuel de sens
2. difracter 
 L’autre et le meme
 soi et en soi (Meara oreiley et Ghys rythme irrationelle)
 Rizome
 j/e wittig
3. repeter

4. Ne pas interrompre

5. Se multiplier

6. S’emmeler 
 Trame du texte, ennoncé et ennonciation /paradoxe



Je suis tombé sur un ouvrage qui présentant different theatre du monde, entre tel siecle et tel siecle en France, Anglettere et Italie.
La volonté de ces hommes été de crée un lieu, physique ou imaginaire/mental qui permette en un regard d’avoir accées à tout le savoir du monde. Représenté LE Tout dans un lieu clos.


Volonté/besoins de pourvoir toujours se referer à une choses fixe


En lisaint ce livre je me suis retrouvers faces à un texte auquel je me sentais tres etrangere/froide/enervé
J’ai pris note du vocabulaire qu’elle utilise, pas des mot-concept, ni du vocabulaire intelectuelle qu'elle utilise, mais des mots et des groupes de mot comme :
xxxxx
xxxxx
xxxxx
xxxxx
xxxxx
xxxxx
xxxxx
xxxxx

À partir de cette liste, j’ai cherché à operer un retournement, pas juste en cherchant l’antonyme de chaque mot, mais tout renversé.

J’avais deja pas mal de piste de recherche, ça fesais directement echos a plusierus sujet qui m’interesse depuis un moment. J’ai regroupé tous ce que j’avais comme référence, tirer des plans sur la comète de mes prochaine lecture et j’ai tout disséquer.

Plusieurs mots mon surout taper dans l’oeil : cercle de savoir, savoir hermetique, univereslle, clos, figé ….

J’ai donc chercher une forme qui puisse, notemment, representer des tout/ des ensemble qui soit non-excluant.

Au début de mon master au beaux art de Lyon, j’ai tenter de presenter à Marie de Brugerolle ma pratique en rendez vous memoire. On ne se connaissait pas j’ai essayé de baraguiner qqch, mais c’est surtout sorties en liste de mots clés « langage verbal et non-verbal, leibniz, musique contrapuntique et Talmud » elle avait l’aire de comprendre plus ou mois les liens que j’essaye de mettre en avant tant bien que mal et ma présenter plusieurs référence dont le livre GEB de H. Mathématicien illuminé des années 80 qui a écrit un ouvrage de plus de 800 pages. Il y décortique la notion d'auto-référence par des dialogue/conte avec des raisonnement mécaniser dans le genre de Lewis Caroll. En prenant à puis sur le travail de trois personne : Gödel ( meta-matematicien ), Bach (principalement pour ses fugues), et les dessin d’esher.
Bref. Fascinant pour tout ceux que ça ne barbe pas d’avance. Au début du livre il utilise une expression « boucle etrange ».

« Grandiose tourbillon des nombreuses idées sur les systèmes hiérarchiques et l'auto-référence. (l’auto reference linguistique par expemle c’est le mot bref qui est bref, le mot pentasylabique qui est pentasylabique) Ce chapitre traite des enchevêtrements qui surgissent quand des systèmes se retournent sur eux-mêmes, par exemple quand la science étudie la science, quand le gouvernement se penche sur les infractions du gouvernement, quand l'art viole les règles de l'art, et, pour finir, quand les humains réfléchissent à leurs propres cerveaux et esprits. Le Théorème de Godel a-t-il quelque chose à voir avec ce dernier « enchevêtrement » ? Le libre arbitre et la sensation de conscience ont-ils un rapport avec le Théorème de Godel ?





Premier theoreme d’incompletude nous dit que :
1. Tout systeme d’axiome est soit incomplet soit incoherent
Deuxième theoreme d’incompletude :
2. La coherence d’un systeme ne peut pas etre demontrer en restant à l’interieur du systeme.


Un axiome c'est une proposition de base qu’on décide de considérer comme vraie, sans la démontrer.
Un système d'axiome c'est un ensemble d'axiome sur lesquelles vas se fondé different
Il existe different système d'axiome, selon si l'on fait ::::::

ce que dit godel c'est qu'un système d'axiome est incohérent si il contient une auto-reference. S'il n'en contient pas cela siginfie qu'il est nécessairement incomplet et que rien ne pourras y remédier

chez godel
on ne peut pas démontrer que tout n'est pas démontrer

Toutes les formulation axiomatiques consistantes de la théorie des nombres incluent des proposition indécidables"


« Il ne faut pas oublier que toute démonstration d’une proposition s’effectue à l’interieur d’un systheme fixe « 
QUESQU’UN SYSTHEME MOUVANT ? LANGUE POLYSÉMIE / redondance sensorielle


Definir ce que ça veut dire ces theoreme en plus simple
Il compare cette incoherence a l’auto reference linguistique (le mot bref est bref, le mot pentacilabique est pentacilabique) puis il nomme ça une boucle etrange.





Une auto-référence dans le langage ce serait un adjectif auto-descriptif donc qui se décrirais lui-même. Par exemple, le mot "bref" qui est bref le mot "pentasyllabique" qui est pentasyllabique. En opposition au mot "comestible" qui n'est pas comestible. Cette boucle-étrange créer un paradoxe dés lors qu'on se demande si le mot "non auto-descriptif" est non auto-descriptif ?


Un paradoxe(Une auto référence)en une image ça donnerait :

::::::


"ces paradoxes semblent contenir un coupable commun l'auto-référence, ou le bouclage étrange"

les boucle étrange présenté précédemment sont dite au premier degrés elle font directement référence à elle-même. Une boucle-étrange au deuxième degrés dans le langage ça peut être 2 phrase qui se renvoie l'une à l'autre. Par exemple le paradoxe d'épiménide :



La phrase suivante est fausse.
La phrase suivante est vrai.



" on peut essayé d'analysé la boucle d'Épimenide a deux degrés présentait plus haut. Étant donné qu'elle parle de la seconde, la première phrase doit être à un niveau supérieur à la seconde, (c'est à dire physiquement au dessus, pour que le-a lecteurice commence par celle-si, et que se créer une logique linéaire) et pour la même raison, la seconde phrase doit être un niveau supérieur à la première. Et comme c'est impossible de phrases sont considérés comme " vide de sens". En faite, des phrases de ce genre ne peuvent tout bonnement pas être formulées dans un système fondé sur une stricte hiérarchie des langages "
"

Deux degrés, soit deux phrases qui se renvoie l'une a l'autre, contrairement à un texte qui pour être cohérent hiérarchissent ses phrase par un raisonnement linéaire

"un système fondé sur une stricte hiérarchie des langages"

comment aller à l'encontre "un système fondé sur une stricte hiérarchie des langages"

comment remplir de sens, dans une meme temps ou dans un même geste, deux contradiction. Sans que l'une ne vide l'autre de son sens




comment s'installer dans la contradiction ?

opérons un premier glissment : Derrida ou comment contredire la (démentir) la notion de contradiction.
(en opposition a "sticte")

« Une des deux réponses doit toujours pouvoir contaminer l’autre. On ne prouvera jamais que c’est l’une ou l’autre, jamais dans un acte de jugement déterminant, théorique ou cognitif. Tel peut être le lieu et la responsabilité de ce qu’on appelle la croyance, la fiabilité ou la fidélité, le fiduciaire, la fiance en général, l’instance de la foi. »
extrait de foi et savoir

L'absence de hiérarchie du langage pourrait se trouver dans l'acceptation de l'incohérence, de la contradiction. se placer en dehors la croyance. Accepter que deux phrase, ou 2 pensée contradictoire ne se démente pas l'une l'autre. qu'il y a infiltration



À la question : "crois-tu en dieu ?" je répondrais : "NON, et que dieux m'en préserve! "
Cette phrase à la chance d'être a la fois un paradoxe, une blague juive et une bonne manière de répondre aux curieux.





Opérons un second glissement : Talmud texte-ligne à texte-volume/ ani / panim elle panim / l'ouvrir et l'avoir : l'absence de hiérarchie du langage pourrait se trouver dans le rapport entretenue avec du texte
et le vide de sens, s'inscrire dans l'ouvrir

en opposition à la hiérarchie du langage d'un point de vue temporelle et aussi contradiction de sois a sois (pas d'être au présent) ou installer dans l'indomptable e








troisième glissement : l'absence de hiérarchie du langage pourrait se trouver dans la redondance sensorielle, l'inter-subjectivité et le trans-modal





quatrième glissement Glissant : lieu-commun

"Je voudrais placer cette méditation en votre compagnie sous deux auspices. Affirmer d'abord que l'on peut répéter les choses. Je crois que la répétition est une des formes de la connaissance dans notre monde; c'est en répétant les choses qu'on commence à voir le petit bout d'une nouveauté qui apparait . La deuxième considération, c'est celle du lieu commun. Pour moi. Les lieux communs ne sont pas des idées reçues. Ce sont littéralement des lieux, où une pensée du monde rencontre une pensée du monde. (...) la meme idée sous une autre forme produite dans un contexte different par quelqu'un avec qui je n'ai rien à voir. Et j'appel ça des lieux-commun. C'est a dire des lieux ou une pensée du monde confirme une pensée du monde.










Cette - boucle etrange - m’a fait pensée aux ressors. Forme qui tourne en rond mais ne se croise pas, ne se ferme pas avance. A la fois, suite de cercle et trait. Le ressors Enmagasine de l’energie et la redistribue. stokage d’energie potentielle consistant à accumuler de l’energie mécanique grace à la deformation de materiaux.
L’auto reference tourne en rond, certe mais ne retourne se referme pas sur elle meme. n’en demeure pas inchangé, grace à l’effet qu’il provoque chez le lecteur, l’apport du sens, l’apport emotionelle. Ce que ca vient àllumer dans lcrane suffit ne pas se refermer sur lui même. à faire avancer

Diagramme spatial



F-AIT-T (savoir )
Diagramme Amy sillman p152 chora
Faire et avoir une experirence (talmud)
lieux commun / rhizome glissant
en opposition au mythe d’un savoir universelle pouvant etre contenue dans son entieretté et reduis à l’essentiel, à l’efficace. On peut partir sur differente piste


« La Chora concept élaboré par la théoricienne Julia Kristeva qui emprunte le terme au Timee de Platon désigne une » totalité non-expressive » pré-linguistique constitué par les pulsions. renvoyant aux maternelles, à l’instant, au rythme là Chora est sémiotique - par opposition au symbolique modalités de signifiances qui se caractérise par la logique la dénomination et la clôture du sens. Elle joue un rôle essentiel dans le travail poetique tels que l'analyse Kristeva »
es ce que donc la semiotique n’a pas de cloture du sens ?
GESTE
INTERPRÉTATION / TRADUCTION TEXTE / VISAGE

«. Les diagramme sont des échecs, les peintures sont des échecs et la vie aussi est un échec. Le diagramme n'y peut rien. Pour le reste reprenons la question de l'écrivain Donald Bartheleme «qu est ce qui se passe après  ? » La réponse est « je n'en sais rien » c'est ce qu'un diagramme, peux vous montrer qu'il y a des choses qui échappe à tout contrôle. »





Le groupe de mot - mise à distance - m’a aussi taper dans l’oeil, ce groupe de mot comme atitude faces aux monde me parrait completement irréaliste.
en opposition foncer tête baisser dans ce qui me titille, là. Naviguer à vu .
mu
faire/avoir experience




Ubicuité par procuration, par l’intermediare



Creation de mot auto-reflexive

Comment un mot peut til incarner son idée/concept ?
je n'est qu'une langue est ça n'est pas la mienne
godel nécessite d'autre système
godel nécessite d'autre système
Pour que le bébé apprenne/comprenne ses interaction avec ses parents il faut que se construise des schémas d'interaction structurés. Une sémantiques de la communication non verbal (du regard et des expressions du visage)
comme une base de donnée pour pouvoir prédir, et donner un sens à une action, un regard, une parole. (montrer du doigt,)




les regards de l’enfant et de l’adulte se coordonnent pour partager un intérêt commun qui peut être une troisième personne, un objet ou un événement.

schémas d’interactions structurés
Ils ont donc un haut niveau de prédictibilité : suite à son action, l’enfant attend une réponse spécifique de la part de l’adulte et peut ainsi interpréter le comportement de l’adulte, du moins partiellement


Par conséquent, leur usage implique une part d’intentionnalité. Ils ne sont pas seulement construits de lexiques, mais aussi de regards, d’expressions faciales, de mouvements de tête, de touchers, d’actions menées vers un but, d’émotions. Ainsi, ces échanges participent aussi à la construction d’une sémantique, d’une communication pré verbale porteuse de sens.

trans-modal, fait de redondance sensorielle. C'est a dire
La communication la plus précoce est d’emblée transmodale, faite de redondance sensorielle
Ainsi, la communication de l’enfant avec le parent lors d’épisodes d’attention conjointe permet de comprendre les intentions d’autrui, dans un contexte qui la rend prévisible, attendue et c’est ce qui lui offre une valeur sémantique


Mais l’attention conjointe ne se limite pas au regard,il faut aussi qu’il y ait une certaine rythmicité (qui s’est illustrée en premier lieu par la voix) accompagne des ajustements avec les regards. »

prédictibilités

unicité du monde social
rendent synchrones leur communication en l’étayant sur plusieurs sensorialités, et qu’ensemble, ils s’ajustent


accordage affectif, un partage d’intention et d’émotion
;qui trouve son origine dans l’intersubjectivité


Ainsi, les attentes interactionnelles participent à l’anticipation de comportements par le nourrisson et laisse envisager l’existence d’attribution d’intention (toujours par le nourrisson) au partenaire de l’interaction (Nadel, 2002).

Le repérage de synchronies est à la base des imitations intra- et inter-modales qui façonnent les échanges 
comment et pourquoi s'entourer de livre quand les mots ont manqué
besoins viseral de s'entourer de savoir


quel-ce qu'une bonne référence ?

de la nécessité de lire des mots quand la parole à fait défaut

quand la narration fait des faux

une parole représentant une dislocation de la parole
Un texte se disloquant
Dénoncé le langage de son incohérence
comment faire l'expérience du démantèlement

impliquer le corps dans le mots
mon langage ne range pas les idées il les déplie

quel ce qu'une bonne réf?

je cherche sans fin dans les bouquin la preuves qui ne se suffise pas pour les comprendre

je veux que la recherche soit mon hygiène de vie,
j'veux etre remplie des mots des autres
j'veux me réveille le matin lire quelque page du livre de la veille, sur le fauteuil de ma chambre orienter face au soleil du matin.
faire chauffer la bouilloire, laver ma tasse du matin, sortir un thé, le mettre dedans, attendre que l'eau soit chaude sans avoir l'esprit qui tourbillonne. j'veux d'la douceur.
j'veux m'assoir au sol devant ma petite table basse étudier l'arabe et l'hébreu biblique
j'veux m'faire des oeuf au plat, avec des courgette en écoutant des podcasts. reprendre l'un des textes que j'ai commencé à étudié la veille.
Lire. Recopier. Ecrire. Dessiner. Recopier. Dessiner. Ecrire. Lire


électroaffinité
La spirale ne peut pas être définie comme un système d’écriture conditionné par des critères rigoureusement établis. L’esthétique de la spirale implique l’imprévisibilité, l’inattendu, l’ambiguïté, les extrapolations, le hasard, les structures chaotiques, la dimension nocturne à la limite de l’opacité et le parcours labyrinthique. La spirale est un approfondissement de la dialectique, à travers un dépassement de la pseudo-différence entre la matière et l’esprit, qui se rejoignent, s’interpénètrent et se confondent dans la mise en forme de l’énergie sous des aspects infiniment variés. La spirale représente paradoxalement l’œuvre à la fois globale et éclatée, totale et fragmentée, ouverte et vertigineuse.

(Anthologie secrète)
"des jeu sans règles, seulement doté d'un mode opératoire assez simple pour accueillir toutes sorte de bizarreries ? Mais combien de bizarrerie supporte un jeu avant d'exploser dans le non-jeu ? Et comment se maintient un jeu s'il réinvente ses règles à mesure qu'il est joué ? "

" un jeu vide dont dont le mode opératoire serait le jeu même. Une règle souple mais tendue qui changerais à chaque coup sans jamais détruire le jeu.

La méthode ? Non. La vie ? Un idiot, jouerais à cela ? Ou seul un idiot pourrait jouer à cela : la vie ?
Y jouerais comme il faut, en conscience, concentré sur la respiration du jeu, inaccessible au détourné d'attention. Un idiot : celui qui regarde le doigt qui montre la lune."

TALMUD
VERBE D'ACTION
MOT ACTION