reconcilié les deux faces
tout avait sa place sur un meme plan
l'échelle est relationnel
a la fois des choses et des évènement
פָּנֶיךָ אל פָּנֶיךָ
Grace à ses vecteurs le diagramme peut tout embrasser à la fois
tout est continuum, tout est relationnel
Les parties ne se distinguent plus des tout
En ce sens un diagramme est utopique,
car il montre comment les choses pourrait et devrait se passer
ici l'autrice à réellement mis en italique le mot devrait et pourrait
ici l'autrice à réellement mis en italique et
Amy Sillman, Faux Pas
modèle de connectivité polymorphe entre des éléments distincts qui est déployé
méthamorphe
préférant les réanvisagé dans leur extension
plutôt que de les décrire et de les catégoriser
,le diagramme comme concept même est une action
un moment plutôt qu'une chose
un moment de transformation
une sorte de contenant,
une structure ouverte à tous les vents,
   capable de représenter la perversité polymorphe de l'esprit de rupture du 20e siècle
faire et avoir une expérience Talmud / TEMPS /
Les diagramme sont des échecs,
les peintures sont des échecs
et la vie aussi est un échec.
Le diagramme n'y peut rien.
Pour le reste reprenons la question de l'écrivain Donald Bartheleme
«qu est ce qui se passe après ? »
La réponse est « je n'en sais rien »
c'est ce qu'un diagramme, peux vous montrer qu'il y a des choses qui échappe à tout contrôle.
talmud contradiction temps-volume
Charles Olson dans son manifeste « vers projectif » décrit à son tour un espece de diagramme spatial : ils imaginent le langage comme constitué d'éléments comparable à des flèches et la parole comme un projectile expulser hors de la gorge du poète, vers le monde traçant une sorte de champ de force invisible. Cette espèce de langage-force, echappe peut être à la perception. Elle n'est pas sans conséquences : l'esthétique relationnelle du langage comme force.
« Est ce qu’on pouvait résoudre le problême du diagramme comme systeme de controle en reflechissant justement à la manière dont dont un diagramme nous fait penser ? Est-ce que des nouveaux modes de pensée pourraint offrir de nouvelles possibilités d’émancipation ? La pensée par le diagramme le travail d'atelier la peinture est-ce que tu ça pouvait être « hors de contrôle » ? Non non tu souhaitais que la réponse de mes soucis tu es d'une manière ou d'une autre dans quelque chose de désordonné des accidents les négation des fuites quelque chose entre nous qui transporter des phénomènes physiques inexplicable idée de désirs les plus sur le plaisir des choses qui me semblait intimement liés à la dimension de mon savoir du processus de création artistique aussi tu descends comme ayant rien à voir avec la génération de valeur. Rien d’utopique la-dedans, seulement, une idée pratique : penser et espérer que, là même ou les flèches du « Vers projectif » se plantent , quelque chose de l'ordre de l’etre et de la vie puisse etre ressenti.
« La Chora concept élaboré par la théoricienne Julia Kristeva qui emprunte le terme au Timee de Platon désigne une » totalité d'un expressive » pré-linguistique constitué par les pulsions renvoyant aux maternelles, à l’instant, au rythme là Chora est sémiotique par opposition au symbolique modalités de signifiances qui se caractérise par la logique la dénomination et la clôture du sens elle joue un rôle essentiel dans le travail poetique tels que l'analyse Kristeva »
Au bout des doigts, et au dela des schemas sur le toit du monde savoir aux limites se trouve l'excédent ce qui est le plus étrange la courroie plutôt que l'information
David Joselit décrit diagramme comme
UN PLAN SUR LA COMÊTE
TEMPS-VOLUME
Jim Jarmusch
Geste RB= somme indeterminer et inepuisasble des raisons des pulsion des paresse qui entourent l’acte d’une athmosphere
Etat de corps = ensemble des tensions et des intention qui s’accumulent interieurment et vibrent exterieurement
talmud
CYTW_RB
:la main a tracé quelque chose comme une fleur et puis s’est mise à traîner sur cette trace;
  la fleur a été écrite, puis désécrite ;
mais les deux mouvements restent vaguement surimprimés;
  c'est un palimpseste pervers : trois textes (si l‘on y ajoute la sorte de signature, de légende ou de citation :Sesostris) sont là,
  l'un tendant à effacer l’autre,
   mais à seule fin, dirait-on, de donner à lire cet effacement :véritable philosophie du temps.
les formes (du moins, à coup sûr, celles de TW)
ne chantent pas plus les merveilles de la génération
que les mornes stérilités de la répétition;
elles ont à charge, dirait-on,
de lier dans un seul état ce qui apparaît et ce qui disparaît;
 séparer l'exaltation de la vie et la peur de la mort,
c’est plat; l'utopie, dont I'art peut être le langage,
  mais à quoi résiste toute la névrose humaine,
  c‘est de produire un seul affect :ni Éros, ni Thanatos, mais Vie-Mort, d‘une seule pensée, d'un seul geste. De cette utopie n'approchent ni l‘art violent ni l'art glacé, mais plutôt, à mon goût, celui de TW, inclassable, parce qu'il conjoint, par une trace inimitable,
  l'inscription et l'effacement,
  l'enfance et la culture,
  la dérive et l‘invention.
visage palimpseste double mouvement du regard a la fois projectif et introspectif, donne et prend des information dans le meme temps, les deux son superposé le palimpseste du visage
lier en un seul "état de corps" , sur un seul visage, dans une seul regard ce qui est pris et donner à l'autre
Etat de corps = ensemble des tensions et des intention qui s’accumulent interieurment et vibrent exterieurement
ce lie à la fois sur un meme visage "l' ensemble des tensions et des intention qui s’accumulent interieurment et vibrent exterieurement "
temps-volume
et le double mouvement du regard a la fois projectif et introspectif, donne et prend des information dans le meme temps, les deux son superposé
,le diagramme comme concept même est une action
un moment plutôt qu'une chose
un moment de transformation
En ce sens un diagramme est utopique,
car il montre comment les choses pourrait et devrait se passer
préférant les réanvisagé dans leur extension
plutôt que de les décrire et de les catégoriser
Les diagramme sont des échecs,
les peintures sont des échecs
et la vie aussi est un échec.
Le diagramme n'y peut rien.
Pour le reste reprenons la question de l'écrivain Donald Bartheleme
«qu est ce qui se passe après ? »
La réponse est « je n'en sais rien »
c'est ce qu'un diagramme, peux vous montrer qu'il y a des choses qui échappe à tout contrôle.
diagramme spatial
« Est ce qu’on pouvait résoudre le problême du diagramme comme systeme de controle en reflechissant justement à la manière dont dont un diagramme nous fait penser ? Est-ce que des nouveaux modes de pensée pourraint offrir de nouvelles possibilités d’émancipation ? La pensée par le diagramme le travail d'atelier la peinture est-ce que tu ça pouvait être « hors de contrôle » ? Non non tu souhaitais que la réponse de mes soucis tu es d'une manière ou d'une autre dans quelque chose de désordonné des accidents les négation des fuites quelque chose entre nous qui transporter des phénomènes physiques inexplicable idée de désirs les plus sur le plaisir des choses qui me semblait intimement liés à la dimension de mon savoir du processus de création artistique aussi tu descends comme ayant rien à voir avec la génération de valeur. Rien d’utopique la-dedans, seulement, une idée pratique : penser et espérer que, là même ou les flèches du « Vers projectif » se plantent , quelque chose de l'ordre de l’etre et de la vie puisse etre ressenti.
« La Chora concept élaboré par la théoricienne Julia Kristeva qui emprunte le terme au Timee de Platon désigne une » totalité d'un expressive » pré-linguistique constitué par les pulsions renvoyant aux maternelles, à l’instant, au rythme là Chora est sémiotique par opposition au symbolique modalités de signifiances qui se caractérise par la logique la dénomination et la clôture du sens elle joue un rôle essentiel dans le travail poetique tels que l'analyse Kristeva »
es ce que donc la semiotique n’a pas de cloture du sens
je m'intéresse à la langue ou plus exactement à ce qu'on appelle la langue et à l'imaginaire qu'on en a
il me semble que nous avons tendance la plupart du temps à évoluer dans notre langue surtout lorsque nous croyons en avoir qu'une un peu à la manière d’un poisson rouge dans son bocal persuadé de vivre dans un milieu naturel parce que les parois sont si transparentes qu’il en oublie le caractère construit historique contingent
et la raison pour laquelle la littérature me semble un instrument prodigieux c'est qu'elle permet de réopacifier légèrement les parois du bocal ou de donner des petits coups pour nous aider à reprendre conscience de leur existence
et du fait que la langue n'existe pas la langue française n'existe pas mais la langue anglaise la langue allemande l'inuctitout n'existe pas non plus
je pense que c'est extrêmement important parce que révéler les contours du bocal c’est aussi interroger l'identité du poisson qui vit à l'intérieur dès qu'on admet que la langue n'existe pas l’identité elle aussi se diffracte s'interroge perd de son évidence et la littérature permet cette expérience d'une défamiliarisation de la langue et de soi-même je pense que c'est le cas de toute littérature
je me suis plus particulièrement intéressée à des textes qu'on on appelle postcoloniaux c'est une étiquette qui ne me convient pas très bien non plus mais qui est assez efficace pour interroger les rapports de force et de pouvoir à l'intérieur de la poiétique
pourquoi la poiétique parce que j'essaie de distinguer ce qui relève de l'énoncer ce que dit le texte littéraire et ce qui relève de l'énonciation la manière dont le texte l'écrit
comme il y a une manière en peinture c'est ce qui constitue le grain le tissu du texte puisque le texte ça vient de tissu c’est la même étymologie plutôt et c'est la manière dont le texte est tramé qui dit quelque chose de la langue et des rapports de pouvoir qui s'y trame précisément
il y a un terme plus technique qu'on peut utiliser et que j'emprunte ccffcgfcgcf grutman qui est un théoricien de la littérature et qui parle d'hétérolinguisme c'est un néologisme un mot inventé qu’il a forgé pour se distinguer du bilinguisme qui constitue une capacité individuelle à parler deux langues pour se distinguer aussi de la diglossie qui est une situation sociale mais pour se distinguer aussi du pluri ou du multilinguisme qui met l’accent sur la multiplicité de langues alors que
l'hétérolinguisme insiste davantage sur la différence à la fois entre les langues mais aussi en leur sein du dedans de la langue elle-même
et aujourd'hui je développe ce que j'appelle une perspective indisciplinaire l'hétérolinguisme ça devient une méthode pour interroger y compris la langue que je parle et qui est l’universitérien essayer de la décloisonner de l'Intérieur là encore et c'est pour ça que je parle d'indiscipline et pas de multi ou de pluridiscipline l'indiscipline c'est à la fois une posture de pensée en ça je dirais que c'est indisciplinaire parce que le suffix fait très universitarien mais c'est aussi une manière de vivre et en ça être indiscipliné comme l'élève au fond de la classe tout pareil